La Réunion, Nout' fierté avec Jean-Paul Virapoullé

1er meeting du mois de mars!

Meeting - Saint-Denis

Retrouvez moi à la Permanence de la Réunion Nout' Fierté au 33 Rue Jean-Chatel | Le 2 MARS à 19h!!!

Chanson Campagne La Réunion Nout Fierte
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L'interview-vérité sur le clash avec Didier ROBERT

L'UNION AVEC LES DIFFERENTES FORCES DE DROITE ET DU CENTRE ETAIT-ELLE UNE DE MES VOLONTES?

Didier ROBERT a déclaré lors de son discours du 13 décembre 2009 à Saint-Pierre que j'ai été le principal artisan de l'Union.

En effet, pour construire l'Union, je me suis volontairement retiré des élections primaires organisées par l'UMP. J'ai accepté la 3è place sur la liste ainsi que le rôle de coordinateur de campagne. J'ai enfin accepté que Didier ROBERT conduise la liste d'Union.

A partir de là, j'ai pensé que la liste qui devait rassembler toutes les forces du centre et de la droite s'établirait suivant les conditions communément acceptées et sur la base du protocole d'accord signé le 16 octobre 2009 par Didier ROBERT et moi-même et dont voici le contenu:

POURQUOI ALORS N'Y A T-IL PAS EU UNION?

Pour respecter un accord, il faut être deux.

Force est de constater que dans la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 février 2010, Didier ROBERT a refusé sur les 15 premiers noms, 2 propositions que je lui avais faites et notamment celle de Thierry SAM-CHIT-CHONG, véritable leader de l'opposition régionale.

Compte-tenu des concessions faites par moi au nom de l'Union, j'ai considéré cette attitude comme humiliante notamment au regard de mon travail et de mon engagement.

Constatant que Didier ROBERT agissait, certes, de son propre chef mais surtout sous la pression parisienne en la personne de Jean SIMONETTI, j'ai décidé de rassembler autour de moi toutes celles et tous ceux qui voulaient d'une Réunion libre, d'une Réunion fière d'elle-même et d'une Réunion capable d'assumer ses responsabilités.

Je tiens à rappeler cela parce que c'est la vérité et qu'on se doit de parler en toute franchise.

L'AVENIR DE LA REUNION EST-IL EN PERIL?

L'élection régionale étant une élection à deux tours, le constat fait est que la droite et la gauche présentent à égalité 4 listes. La compétition est donc ouverte. Dans ces conditions, la seule question que les Réunionnais doivent se poser le 14 mars prochain pour faire barrage à la dynastie des Vergès est celle-ci:

Quel candidat présente le plus de garanties par sa disponibilité d'abord mais aussi par son expérience et ses actions passées pour devenir Président du Conseil régional de La Réunion?

Je me permets de préciser que, dès lors qu'un Gouvernement français de droite ou de gauche a tenté de mettre en péril l'avenir de la Réunion, je me suis à chaque fois porté à la tête du combat avec Michel DEBRE, Louis VIRAPOULLE, Auguste LEGROS et le Sénateur Edmond LAURET notamment pour combattre avec succès:

- le projet de loi sur l'autonomie Vergès-Mitterand en 1982

- le projet de la bi-départementalisation Vergès en 2000

- les "lois pays" de Raffarin-Girardin en 2003

QUEL MESSAGE FAIRE PASSER LORS DE CES ELECTIONS?

Je vous invite à travers votre bulletin de vote et pour faire respecter l'article 1 de la Constitution française relatif à l'organisation décentralisée de la République, à dire haut et fort:

"Paris i command pa nou!"

Nous sommes libres de constituer dans le cadre des élections régionales la liste de notre choix!

Ensemble, proclamons nout' fierté en La Réunion!

Ensemble, bâtissons notre région comme on l'aime!

Jean-Paul VIRAPOULLE

Paulo, Ruine pas nous!!!

Il manque 5 milliards pour le projet Tram-train... La Réunion a t-elle les moyens de rembourser 125 millions d'euros par an pendant plus de 40 ans?

Oui à un Centre Hospitalier Universitaire (CHU) pour une meilleure qualité des soins et un développement de la formation et de l’emploi dans le secteur médical (médecins, infirmiers) et paramédical.

Pour la réussite de notre jeunesse:

- Oui à la bourse de la 2ème chance qui permettra aux milliers de jeunes diplômés au chômage de renforcer leurs connaissances et de se réorienter vers les secteurs porteurs d’emplois. Chaque jeune, maître de son destin, disposera d’un budget formation personnalisé qu’il pourra utiliser pour financer sa réorientation professionnelle.

- Pour les non-diplômés et tous ceux qui se trouvent en grande difficulté, Oui à la création d’un passeport qualification emploi personnalisé. Un diagnostic sera établi et des moyens humains et financiers considérables adaptés aux besoins de chacun seront mobilisés.

- Oui à la rénovation des lycées et des établissements de formation professionnelle, actuellement vétustes.

- Oui à un Centre Hospitalier Universitaire (CHU) pour une meilleure qualité des soins et un développement de la formation et de l’emploi dans le secteur médical (médecins, infirmiers) et paramédical.

Oui à l’Internet Haut Débit au même prix qu’en métropole et oui à un tarif social pour les jeunes et les plus démunis.

Pour l’ouverture des Réunionnais sur le monde, nous avons besoin de votre soutien le 14 mars pour mettre en place:

- l’Internet Haut Débit au même prix qu’en métropole et un tarif social pour les jeunes et les plus démunis.

- le développement du télé-travail qui permettra de fluidifier la circulation.

- le rétablissement de l’aide aux familles les plus démunies pour le financement des voyages dans le cadre de la continuité territoriale.

- la relance d’une politique de mobilité rénovée et plus humaine.

Oui à la Route du Littoral sécurisée et gratuite qui sera le chantier prioritaire de la mandature.

Pourquoi s'opposer à la réalisation du tram-train?

Pour voir en vidéo mes explications sur notre combat contre ce projet, cliquez ici.

Par ailleurs, cet article paru le 20 octobre 2008 sur clicanoo.com nous rappelle bien que si tram-train il y a, alors un péage sera instauré sur la Route du Littoral...

Au sein du comité de pilotage on estime qu’une route sécurisée pourrait se chiffrer entre 1,3 et 1,73 milliard d’euros en fonction du projet qui sera retenu. Si l’essentiel de cette somme sera réglée par les pouvoirs publics (Europe, État, Région), une partie du financement devrait néanmoins provenir de fonds privés. Le protocole de Matignon prévoit que l’exploitant de la future route amènera 215 millions d’euros, à charge pour lui de se rémunérer grâce à l’instauration d’un péage. En mai 2008, le concept du péage a d’ailleurs été voté par les autorités. Depuis plusieurs mois de nombreux collectifs d’usagers de la route sont montés au créneau pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme une escroquerie. Au sein de l’Association des usagers de la route en corniche (L’Aurc), on estime que "le péage est un moyen de faire payer aux Réunionnais le coût d’une nouvelle route qu’ils ont déjà financée". Antoine Franco, le président du comité contre le péage de la route en corniche, estime, lui aussi, que "les Réunionnais ont déjà payé et continuent de payer cette route du littoral". Juridiquement, il conteste d’ailleurs cette décision. "La route de la Montagne ne constitue pas une véritable alternative. Tout d’abord parce que cette liaison est incapable de digérer le trafic monstre que représentent les 50 000 véhicules qui arpentent chaque jour l’actuelle route en corniche. Ensuite parce que la CD 41 n’est absolument pas apte à accueillir la circulation de poids-lourds. De fait, imposer un péage sur le nouvel axe en 2017 reviendrait à instaurer un véritable racket. S’il faut absolument un péage pour renflouer les caisses, qu’on l’instaure sur la route des Tamarins ! Là au moins les alternatives sont nombreuses," s’emporte-t-il. Du côté de la Région on s’interroge sur les arguments avancés par ceux qui s’opposent au péage. "La nouvelle route permettra un gain de temps, de productivité, c’est un élément décisif dans la vie économique, non seulement pour les entreprises, mais aussi pour les particuliers. Et ce, d’autant plus qu’au moment de la mise en place du péage, à la livraison de la nouvelle route du littoral, en 2017, on peut se demander ce que représentera 1 euro ? Quel sera alors le prix du litre d’essence ?" Pour l’assemblée régionale, le surcoût du péage sera donc largement compensé par les gains du nouveau tracé. Le bras de fer entre les usagers et les collectivités n’en est encore qu’à ses débuts.